Du désir au plaisir (part 2)

Rarement une telle montée de désir s'est emparée de moi. Alors que je sens ses lèvres couvrir mon cou et mon visage, mon corps ne veut qu'une chose, laisser s'exprimer toute ma sensualité. Je le désire ardemment et je sens qu'il me désire en retour. Sa main droite se porte juste sous mon sein et du creux entre son pouce et son index, il souligne la couture de mon bustier. Son autre main continue de parcourir mon flanc gauche longeant mes cotes pour redescendre sur ma hanche. Que j'aime sentir sa caresse...

Je me retourne à nouveau pour lui faire face. Je pose à peine mes mains sur ses omoplates que déjà elles chutent presque malgré moi pour atteindre ses fesses musclés. Son jean délavé me laisse malgré tout sentir les muscles puissants qu'il abrite. Je dépose un baiser sur l'arête gauche de son menton et je remonte doucement laissant traîner ma langue le long de sa mâchoire.

- J'ai envie de toi, lui dis-je

- J'ajoute ça à la liste de nos points communs, me répond-il avec ce sourire farceur qui me fait fondre.

Mes mains sont revenues sur son torse et une nouvelle fois, elles chutent presque malgré moi comme aimantée par l'envie que j'ai de découvrir sa virilité. A présent, elles s'affairent avec la boucle de son ceinturon. Je tire maintenant la bande de cuir pour l'abandonner au sol.

- Que j'aime quand tu fais ça...

- Alors laisse moi te montrer tout le bien que je peux te faire.

- Je prends ça pour une promesse.

- Tu n'imagines pas à quel point.

Bouton après bouton, je fais chuter le mur de toile qui me sépare de ce que je désire le plus en ce moment de grâce. Enfin le pantalon tombe de lui-même comme vaincu par mes assauts. Je caresse délicatement à travers le dernier rempart de tissu son membre viril qui déjà commence à durcir. Je le pousse maintenant vers le sofa sur lequel il échoue comme terrassé par la conquérante qui a pris possession de moi. Je quitte mes chaussures et m'agenouille entre ses jambes. Mes mains saisissent son boxer au niveau de la taille et l'attirent à moi. Son pénis, dans une tentative désespérée tente de rester à couvert mais déjà l'élastique ne le retient plus et la verge dure jaillit enfin. Je veux une victoire totale alors je continue de tirer à moi ce dernier vêtement. Son sexe m’apparaît dans toute sa nudité et enfin j'abandonne ce vestige de sa pudeur une fois les genoux passés. La gravité l'accompagnera jusqu'aux chevilles.

To be continued...